1. Compétence territoriale :
ne jamais dire au CPAS que vous dormez « ici et là », vous serez refusé d’office, car le CPAS ne peut aider que les personnes qui sont identifiées sur le territoire de la commune. Même si vous ne dormez pas tous les jours chez un tel ou un tel, il faut en choisir un qui accepte de dire que vous êtes habituellement chez lui. L’AS viendra vérifier si effectivement il y a des traces de votre passage.
2. Mission de l’Assitant Social :
l’Assistant social n’a aucun droit de refuser votre demande, son seul travail consiste à établir votre dossier et dès qu’il est complet, l’Assistant Social le présente au Conseil du CPAS. C’est ce dernier qui accepte ou refuse. Même si l’AS assure que votre dossier sera refusé, il faut insister qu’il le présente au Conseil du CPAS. C’est absolument nécessaire, car en cas de refus, ce dernier ne peut le faire que par écrit et en donnant les motifs du refus. Ce refus vous sera envoyé par poste, mais vous pouvez en demander une copie un peu après, à l’accueil du CPAS.
3. Hébergé provisoirement chez un ami :
Les CPAS sont de plus en plus méfiants. Il faut bien insister pour dire que c’est PROVISOIRE : trois ou quatre mois (renouvelable). Vous n’entrez pas dans la composition de ménage et donc, vous restés au statut «isolé». Par contre certains CPAS exigent le bail ou même les revenus de celui qui vous héberge. C’est totalement illégal, le Fédéral (SPP IS) le rappelle régulièrement aux CPAS, mais il n’y a aucune sanction contre eux. L’objectif de ces CPAS est de diminuer le RIS parce que vous avez « des avantages en nature ». À vous de vous défendre avec des tickets d’achat de nourriture ou des preuves de séjour dans un abri de jour ou restaurant social etc.. pour bien montrer que vous ne partagez pas les repas…
4. Être hébergé provisoirement chez un ami, c’est être sous un toit, mais c’est bien être sans domicile et donc, vous avez droit à l’adresse de référence :
Malheureusement, certains CPAS refusent, prétextant que vous êtes sous un toit…
Un virus qui a commencé en Flandres et qui se propage dans le pays. Deux possibilités :
- Votre demande ne peut être refusée par l’AS. Ou bien vous l’obligez à introduire malgré tout votre dossier (ainsi vous aurez la preuve du refus et des motifs et vous pourrez aller au tribunal), ou bien vous exigez qu’elle vous donne un reçu mentionnant votre demande et le motif du refus. Ne pas sortir sans ce papier.
- Faire appel au Fédéral via question@mi-is.be ou 02 508 85 86. C’est mieux par mail, car ainsi vous pourrez montrer la réponse au CPAS au Conseil du CPAS.
- Demander d’être reçu par le Conseil du CPAS et venir avec la réponse du Fédéral + la définition de « sans abri » qui se trouve dans le guide publié par le Fédéral à la page 4. La législation considère comme sans-abri « toute personne qui ne dispose pas de son logement, qui n’est pas en mesure de l’obtenir par ses propres moyens et qui n’a dès lors pas de lieu de résidence (hébergé temporairement chez des connaissances par exemple), ou qui réside temporairement dans une maison d’accueil en attendant qu’un logement soit mis à sa disposition »
Source Front Commun des SDF
Nous avons près de 60ans et le Cpas d’ottignies nous a expulsé du logement d’urgence pour le 30 novembre. C’est tout ce que nous avons pu obtenir du juge de paix. Ils nous ont mis en cohabitants et le tribunal du travail nous a refusé le Ris d’isole sous prétexte que nous sommes amuser avons un lien affectif. Un logement d’urgence sale et vétuste pour 455 euros mensuels et140 de charges alors que nous recevions respectivement 587 et 637 euros par mois, l’un de nous étant prélevé chaque mois de 50 euros sans raison. Il n’y a plus que l’option de vivre sous tente dans la nature car nous devons honorer des factures de 650 euros mensuels en attendant de nous trouver un logement, une voiture et un container moins cher
Les centres d’accueil sont des nids à violence et à virus. Pas question pour nous de vivre la dedans. A Ottignies, Louvain la Neuve il n’y a rien pour les sans abris. Beaucoup forment chez des étudiants ou dans des squatts. Beaucoup de jeunes qui boivent et fument. Beaucoup de violence.
Pendant ce temos là qu’on met les belges dehors où dans des logements d’urgence coûteux,, la Wallonie loge des maghrébins gratis. On leur donne des maisons, de l’aide humanitaire, ils ne payent pas un cent. Nous, en guise d’aide humanitaire on a droit à des biscuits, de la confiture, des paquets de, sauce pour barbecue, de l’eau pétillante, 2 bapzins rassis et parfois 1 lasagne pour 2. Nous n’avons jamais eu de produits de l’aide humanitaire européenne. Ils sont délivrés par 1,association aux étudiants qui boivent leurs économies à coup de casiers de bières. 35 tonnes de nourriture en provenance de l’U. E est délivré aux associations du Brabant wallon, lesquelles disent ne pas en avoir et nous délivrent des invendus bien souvent périmés, décongelés et recongeles…Ces marchandises dont probablement détournées car rien n’est noté lorsqu’on vous délivre quelque chose. Nous, on s’en va… on se trouvera bien un morceau de nature pour y vivre, sous tente en espérant que la pluie et la remoete ne démontent pas notre tente.
On a aussi des animaux domestiques et c’est notre raison de vivre mais dans les maisons à louer,, aux prix exhorbitants ou à bon marché mais des taudis ou des espaces de 15 m2-zlirs que c’est interdit par la loi- ce sont des taudis que le propriétaire loue en vous demandant encore de payer de 50 à 100 euros pour la copropriété. La caution du CPAS, ils refusent, tout comme ceux qui y ont un Ris, qu’ils aient été avant employés ou indépendants. Ce qui leur importe ce sont les salariés. Bref, les proprietaires Wallons discréditent et effectuent une discrimination envers les Belges au CPAS.
Il faudrait des lois pour empêcher les gens de demander des sommes énormes dans leur loyer. On ne sait pas vivre avec un loyer de 500 euros (20.000 FB anciens) avec un revenu de 1200 euros mensuel, quand on paye déjà plus de 650 euros pour autre chose. C’est payer le loyer ou manger… et encore pas moyen d’avoir du chauffage, quant à l’électricité et le gaz, c’est hors de prix en Belgique.
Cote Flamand, tu dois connaître la langue neerlandaise , sinon exit… mais pour l’immigré ou même le faux immigré de nationalité algérienne qui cause anglais, on offre tout, gratos…
Il faut des lois d’urgence pour arrêter de mettre les petits jeunes et les étrangers dans les tours de location , alors qu’il y a des sdf belges, dans la rue qui ne voient jamais aboutir leur demande de logement social !
Ce système est pourrit jusqu’à l’os. De plus avec la Covid19, il faudrait que les bourgmestres et le ministre de l’environnement, décide et nous octroie de vivre dans les bois et forêts sous conditions. Là nous sommes à l’abri de cette arme chimique qui tombe sur x sans crier gare…
On ne vous demande plus de l’aide,, on crevera soit du froid soit de faim, on nous dit que le squatt est illégal alors qu’il y a déjà des centaines de logements libres puisque les personnes sont décédées. On devrait réquisitionner leurs biens pour les pauvres.
La Belgique c’est une calamité sociale. En France ils ont le RSA, L’APL(C’EST L’ÉTAT FRANÇAIS QUI PAYE LEURS LOYERS) En France, on ne prit pas mette les gens dehors en plein hiver. Ici, c’est le CPAS qui jette à la porte, les gens et même, certaines personnes se voient refuser le Ris pour des motifs linguistiques ou suspicion de commerce … Du jamais vu…
On mettrait déjà la garantie locative à un mois, comme en France et on réduirait le prix des loyers, ce serait beaucoup mieux !